Dans sa chronique du vendredi 11 juin, monsieur Alain Dubuc associe les vérificateurs généraux (à Montréal, Québec et Ottawa) à de « nouveaux gourous ». Je lis les chroniques d’Alain Dubuc, tout comme jadis ses éditoriaux et ses articles de journaliste économique, avec beaucoup d’intérêt et de respect. J’apprécie chez lui l’art de distinguer l’essentiel de l’accessoire et j’estime ses textes habituellement développés avec rigueur. Sa chronique du 11 juin ne figurera certainement pas parmi ses plus pertinentes…
UNE COCHE MAL TAILLÉE
