Traiter du « devoir de rendre compte » devant un public aussi averti que celui présent à cette conférencce relève soit de l’inconscience des risques, soit de l’audace. Je préfère croire au deuxième terme de l’alternative, tout en sachant que le thème abordé, s’il est riche et fécond quant à sa relation avec la gestion de la qualité, n’en est pas moins plein d’embûches.
Je précise aussi que le traitement que je fais de ce thème est volontairement empreint d’une forte dose de philosophie personnelle. Mes réflexions sur le devoir de rendre compter se dérouleront dans la séquence suivante : …