L’ensemble des activités reliées à la santé et au bien-être est en pleine mutation au Québec. Les lois se succèdent, les directives se précisent, la réforme s’accélère. Des structures se modifient, d’autres jaillissent, d’autres enfin disparaissent. Dans ce branle-bas, des gens jubilent et d’autres s’inquiètent. Parmi ceux-ci, le personnel-cadre des établissements, du moins les cadres supérieurs se demandent ce qu’il adviendra de leur établissement, de leur marge d’initiative et de leur liberté d’action. La question brûle les lèvres : dans la réforme en cours, la direction d’un établissement présentera-t-elle encore un intérêt professionnel authentique? Y aura-t-il encore un défi («challenge») administratif?…