RESPONSABILITÉS DU CONSEIL D’ADMINISTRATION (C.A.)

La première responsabilité du C.A. de l’Ordre est d’assurer la réalisation de la mission de l’Ordre telle que définie dans son plan stratégique.

À ce titre, le C.A. assume la responsabilité de la planification stratégique et de la réalisation des objectifs qui y sont définis. Une telle planification implique : approbation de plans annuels conséquents, choix des moyens, mécanisme de suivi de la mise en oeuvre ainsi que transparence et éthique de la part de tous les administrateurs. Continuer la lecture de « RESPONSABILITÉS DU CONSEIL D’ADMINISTRATION (C.A.) »

LA DYNAMIQUE ET LE FONCTIONNEMENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION D’UN ÉTABLISSEMENT DE SANTÉ

Le thème général du congrès 2006 de l’Association Québécoise des
Établissements de santé et de services sociaux (A.Q.E.S.S.S.) aborde la question vaste et complexe de la gouvernance des établissements et particulièrement celle des conseils d’administration d’établissements. Les organisateurs du congrès m’ont invité à exposer mes vues sur le sujet, en insistant pour une approche concrète, soit celle vécue avec les membres du conseil d’administration du Centre Hospitalier Universitaire de Québec (C.H.U.Q.). Continuer la lecture de « LA DYNAMIQUE ET LE FONCTIONNEMENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION D’UN ÉTABLISSEMENT DE SANTÉ »

LA PRÉSIDENCE D’UN CA D’UNE SOCIÉTÉ D’ÉTAT. QUESTIONS ET RÉPONSES.

Le présent texte vise d’abord à mettre en évidence les diverses responsabilités du président du conseil d’administration d’une société d’État.

Il existe une grande diversité de sociétés d’État. Mais, aussi considérable soit-elle, cette diversité n’empêche en rien d’aborder les rôles et responsabilités des conseils d’administration et de leur président dans une perspective globale. Bien sûr, l’application du contenu du présent document à leur réalité particulière exigera des adaptations, mais les questions qui y sont abordées concernent tous les C. A. et leur président. Continuer la lecture de « LA PRÉSIDENCE D’UN CA D’UNE SOCIÉTÉ D’ÉTAT. QUESTIONS ET RÉPONSES. »